PANDORA'NIN SANDIĞI

Burnumun ucuna değen meltemin kanatlarına binip uzak diyarlara, geçmişte kalmış o eski hatıranın daha çalmadan açılmış olan kapısından içeri girdim...

Etraf sanki bir tepki beklermişçesine sus pus olmuş, bense yaşanmışlıkların verdiği rehavete bırakmışım kendimi. Kapı kapanıyor arkamdan usulcacık, kimseler rahatsız etmesin diye...

Derin bir iç geçiriyorum önce, burası ne de olsa benim sandığım arada bir içine kaçıp saklandığım, Pandora’dan yadigar... ne ararsan var hesabı; kimbilir daha da neler eklenecek. Öğretmedi bana yıllar ya da ben öğrenemedim sandığı kapalı tutmayı, hayat kilidi açınca yaşam buldu sanki...

Yürüdüğüm yolların biriktiği köşeye bir selam veriyorum önce, yollar boyunca tuttuğum ve tutmakta olduğum ellere, karşıma neden çıktığını şimdi anladıklarıma ve hala anlamamış olduklarıma... bebekliğime gülümsüyorum kollarımda tuttuğum ve içimdeki çocuğun peşinden koşuyorum umarsız... gözyaşlarımla yaşam bulan çeşmenin şırıl şırıl sesi kulaklarıma varıyor, gülümsüyorum; etrafında yüzlerce rengarenk çiçekler açmış...

Yaşanmışlıklardan biri eksik olsa diyorum kendi kendime nasıl bakarım aynaya yansıyan bu yüzüme? Hani bir evet yerine bir hayır denilmiş olsa, ağzını açmak yerine susulmuş olsa, gitmek yerine kalınmış olsa, duymak yerine dinlenmiş olsa, aşk yerine .... işte bulamıyorum bu sonundakinin yerine konulabilecek birşey, bulamadım, bulmak da istemem aslında, zaten aramıyorum ya o da başka...

Meltem tıkırdatıyor kapıyı yavaşça, “Nereye?” diyor; zıplıyorum kanatlarına yeniden “yüreğime sor” diyorum...

Les Trois Grâces

L'original du tableau, peint par Raphaël pendant sa période Florentine, soit vers 1505 est conservé au musée Condé de Chantilly. (voir l'avatar du blog)

Le Duc d'Aumale, fils de Louis Philippe, qui était le propriétaire du château de Chantilly a constitué une grande collection de tableau et a noté dans ses carnets concernant les Trois Grâces de Raphaël : “A droite c'est la vierge, un léger voile, pas de bijoux; à gauche la femme dans le plein de sa beauté, plus de voile, de riches joyaux; au centre tournant le dos, la femme dans toute sa maturité.”

Le Duc d'Aumale a rassemblé de nombreux Chefs d'oeuvres que nous pouvons contempler lors des visites du château de Chantilly, légué par ce dernier à l'Institut de France .


PREMIERE PARTIE: QUI SONT LES TROIS GRACES?

Les Trois Grâces sont des déesses grecques qui représentent la séduction, le charme, l'amour, la beauté, le désir et le plaisir. Elles sont les filles Zeus et de la nymphe Eurynomé. Elles se prénomment Euphrosyne, Thalie et Aglaé c'est à dire “brillant”, “fleur”, “beauté”. Elles résident sur le Mont Olympe.

Elles étaient connues chez les Grecs anciens sous le nom de Charites. Elles appartiennent avec les Muses à l'entourage d'Apollon. Elles sont présentes au côté d'Aphrodite et d'Eros mais également de Dionysos et d'Athéna.

Elles ont comme attributs, la rose, un rameau de myrte, une pomme et un dé. En effet l'une des Trois Grâces tient des roses, l'autre un dé à jouer, la troisième une branche de myrte et toutes les trois tiennent une pomme.

D'après certains récits Aglaé est l'épouse d'Héphaïstos, artisan parmi les dieux. A cause de celà on peut les voir associées à l'Art et à l'Artisanat.

Aussi comme les muses, elles font naître l'inspiration des artistes et des poètes.

Elles avaient des Temples à Elis, à Delphes et Perinthe. Le fleuve Cephissus près de Delphes leur était consacré.


DEUXIEME PARTIE: QUE FONT- ELLES?

Comme toutes les femmes de l'antiquité, elles illuminent la vie des hommes. Les Trois Grâces président aux banquets, aux danses et à toutes les réjouissances de l'existence. D'elles émane la joie qu'elles transmettent aux dieux et aux hommes. Elles conduisent à la joie de vivre.

Ensemble elles font la fête et montrent ce que l'on peut vivre de plus intense. Les fêtes grecques qu'elles président sont prévues à certains moments de l'année et les dates sont connues à l'avance.

En compagnie des muses de l'entourage d'Apollon, elles chantent. Elles dansent aussi au son de la lyre du Dieu.

Traditionnellement, elles sont d'abord vêtues et voilées puis plus tard, elles apparaissent nues se tenant par les épaules et formant une ronde. Elles sont deux à regarder dans une direction tandis que la troisième porte son regard dans une direction opposée.


TROISIEME PARTIE: QUE REPRESENTENT- ELLES?

Pour les penseurs de la Renaissance, elles incarnent la Beauté, la Chasteté et l'Amour. Elles ont inspiré de grands peintres et sculpteurs comme Rubens, Fragonnard, Raphaël, Botticelli.

Euphrosyne est la joie extrême, l'allégresse que chacun ressent lors d'un banquet où il est convié.

Thalie incarne l'abondance extrême , le plein de vie qui se termine par un don aux dieux et aux hommes.

Aglaé est la Beauté éblouissante, la splendeur. Aglaé est aussi la messagère d'Aphrodite.

Elles sont l'image de la jeunesse, de l'amour, de la beauté. En effet, elles sont jeunes et belles. Les Grecs considéraient la pleinitude de la femme entre 15 et 20 ans.

Elles incarnent le désir, la sexualité (en dehors du mariage) de l'homme et une vie intense dans tous les aspects ludiques, le festin, la danse.